Les préoccupations environnementales des citoyens continuent de s’imposer à l’agenda politique, économique et social des pays, petits et grands. Ce changement est particulièrement perceptible auprès des plus jeunes générations. Parmi tous, ces derniers ressentent l’urgence (à juste titre) d’agir localement et globalement. Selon une récente étude publiée par Innova market, 21% of consommateur à l’échelle mondiale considérait les facteurs environnementaux comme « important » en 2020. Signe du temps, ce chiffre a grimpé à 1/3 des répondants pour l’année 2021.
Sans surprise, les consommateurs veulent des réponses. De l’ingrédience, dont nous parlions déjà à cette antenne en 2004, aux impacts écologiques et sociaux de la culture et de la fabrication des aliments, sans oublier l’empreinte environnementale, beaucoup de questions laissant les entreprises, et très souvent leur marque, dans un immobilisme tragique et troublant.
Dans ce tourbillon mondial pour le climat, les concepts de durabilité et d’impact environnementaux sont différents mais se confondent aussi bien souvent. Au final, l’enjeu demeure le même : comment réagir efficacement et promptement à ce mal moderne. Le défi et l’opportunité pour les entreprises et leur marque réside dans l’habileté d’adopter une mentalité consciente et proactive autour « d’ambitions durables ». À cette vision s’accrochent et s’articulent des gestes, des actions, des succès. Pour mettre fin aux tergiversations et surtout à l’immobilisme corporatif, les marques peuvent et surtout doivent prendre les devants.
Pour en discuter et envisager une approche sur mesure en matière d’ambitions durables, communiquez avec nous à enzyme.ca/contact